mercredi 27 juillet 2011

LES AMOURS DU PIED-DE-LA-CÔTE ILLUSTRATIONS CAMILLE GIRARD-BOCK


Les amours du Pied-de-la-Côte 

illustrations de Camille Girard-Bock


Ci-dessous, deux aquarelles de Camille vous donneront un aperçu de son talent. L’une d’elles présente Aline et Georges le jour de leur mariage et l’autre, l’église où ils ont promis de s’aimer et de s’entraider toute leur vie.

PARAÎTRA À L’AUTOMNE 2011







Clément Fortin en collaboration avec la jeune aquarelliste Camille Girard-Bock présente une édition illustrée de
LES AMOURS DU PIED-DE-LA-CÔTE


C’est avec brio que Camille Girard-Bock communique cette sensibilité aux personnages de mon roman et qu’elle rend chaleureuses les scènes de leur quotidien. Elle n’avait que 16 ans quand elle a entrepris d’illustrer ce roman et de jeter un regard rafraîchissant sur le passé matanais. Passionnée du dessin, elle s’y exerce depuis le berceau.
Les racines de Camille sont matanaises. Sa grand-mère, Claire Fortin, est issue du mariage de Siméon Fortin, né en 1898, au Pied-de-la-Côte et d’Anne-Marie Cazes, née en 1908, à Sainte-Flavie. Ceux-ci ont tenu un commerce dans la rue Saint-Pierre, à Matane. Ils ont quitté Matane quand la Price Brothers et la Hammermill Paper mirent un terme à leur exploitation forestière.
De la première secondaire jusqu’à la troisième, Camille s’est inscrite au programme de concentration en arts plastiques. Elle a expérimenté quelques médiums d’expression avant de jeter son dévolu sur l’aquarelle.
Son intérêt pour l’anatomie du corps humain se reflète dans ses dessins de personnages réalistes et proportionnés. Ce même intérêt pour l’anatomie du corps humain l’a incitée à s’inscrire en sciences biomédicales à l’Université d’Ottawa.
Vous remarquerez sans doute dans son œuvre l’influence des mangas, soit des bandes dessinées japonaises. C’est en dessinant des mangas que l’aquarelliste découvre une technique qui lui devient bien personnelle. Et qui lui permet de nous proposer une riche et abondante iconographie du Pied-de-la-Côte.
L’aquarelliste s’exprime avec les couleurs. Le poète peint avec les mots. Balzac, que d’aucuns qualifient de peintre littéraire, confiait à la comtesse Hanska qu’il peignait ses romans.
C’est en juillet que Camille fête ses 19 ans. Tant de talent la destine à de grandes réalisations.
Comme tout romancier, j’ai rêvé de porter à l’écran Les amours du Pied-de-la-Côte. J’ai aussi rêvé d’ajouter des images aux mots pour mieux faire revivre ce lieu-dit qui a vu naître plusieurs membres de ma famille. Je te remercie Camille de participer à la réalisation d’un de mes rêves.
Clément Fortin
(450) 227-5044
40, rue de la Marquise
Saint-Sauveur  (Québec) J0R 1R4 
Nous vous invitons, Camille et moi, à nous faire vos commentaires.

Oui, vous pouvez réserver un exemplaire dès maintenant en vous adressant à moi :
 40, rue de Marquise
 Saint-Sauveur (Québec)  J0R 1R4
Faites votre chèque à l’ordre de Clément Fortin. Le prix d’un exemplaire est de 39,95 $. Ce prix comprend les frais de port et de manutention. Je vous signale que le tirage est limité à 200 exemplaires.


RECONNAISSANCE

Claude Canuel, le maire de Matane, me fait l’honneur de préfacer cette édition. Je le remercie, lui et ses collègues du Conseil municipal, d’avoir facilité la parution de cet ouvrage.
Je remercie de ses conseils éclairés Maurice Gauthier, un ancien maire de Matane.

Romain Pelletier, de la Voix Gaspésienne, a toujours été d’une aide inestimable à la diffusion de mes ouvrages. Merci, Romain.

Je suis redevable à André Pronovost, romancier et chanteur rock, et François G. Cellier, journaliste, d’avoir répondu avec empressement à mes appels à l’aide. Merci aussi aux journalistes Michel Auger, Yves Boisvert, Hélène Cantin, Johanne Fournier, Thierry Haroun, Solveig Miller, Bryan Myles, Éric Nicol, Rollande Parent, David Santerre et Ernie Wells de leur collaboration à la diffusion de mes ouvrages.

Cette nouvelle édition me permet d’exprimer encore une fois toute ma reconnaissance envers la Société d’histoire et de généalogie de Matane. Son Histoire de Matane et sa revue Au pays de Matane demeurent pour moi une source d’inspiration intarissable. Louis Blanchette, Georgy Bouffard, Léon Boudreau et Claude Otis notamment poursuivent avec enthousiasme l’œuvre entreprise par Antoine Gagnon, Charles-Édouard Vézina et Robert Fournier.

L’Estuaire, la revue d’histoire de l’Université du Québec à Rimouski, a publié plusieurs de mes articles. Merci à ses infatigables artisans Pierre Collins, Paul Laroque et Jean Larrivée

Le Magazine Gaspésie m’a ouvert ses pages avec cordialité. Merci à Jean-Marie Fallu et à toute son équipe.

J’adresse aussi mes remerciements à Lise Whittom Grenier, de la Bibliothèque municipale de Matane. C’est toujours avec empressement qu’elle et son équipe m’aident au lancement de mes ouvrages.

Même si je n’habite plus la région depuis des lunes, le Salon du livre de Rimouski me considère toujours comme « un auteur d’ici ». Je saisis cette occasion pour témoigner ma gratitude à Robin Doucet et à son équipe.

Faut-il encore le rappeler! Sans le dévouement de bénévoles, ces réalisations remarquables seraient impossibles. Aussi peuvent-ils compter sur mon soutien et ma reconnaissance.

Merci à mes lectrices et à mes lecteurs de donner vie à mon roman depuis sa parution, en 1997.

Mon frère Michel, professeur à la retraite de l’Université du Québec à Montréal, m’a guidé dans la présentation de cette nouvelle édition. C’est aussi l’auteur du plan qui apparaît au début de ce roman. Camille a aquarellé ce plan pour lui donner le ton de cette nouvelle édition.

J’ai mis quelques membres de ma famille à contribution. Mon frère aîné, Louis-Georges, administrateur agréé à la retraite, s’est chargé de prendre des photos. Me Jean Fortin, mon neveu et filleul, ingénieur et avocat, a participé à la création du blogue pieddelacote. La docteure Marcelle Girard, la mère de l’aquarelliste, s’est empressée de fournir à sa fille un cadre propice à la réalisation de ses illustrations. Mon frère Claude, un enseignant à la retraite résidant à Matane, distribue mon roman avec bienveillance. Merci à tous.

En nous quittant le 8 novembre dernier, Andrée n’aura pas vu l’achèvement de cette œuvre. Pour célébrer la joie de vivre qu’elle a fait rayonner autour d’elle, Camille et moi la lui dédions.

Par curiosité, cliquez sur le lien suivant:


4 commentaires:

  1. Très jolies illustrations. Félicitations
    Un ami

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  2. J'ai lu il y a longtemps le roman que j'avais trouvé intéressant. Ces illustrations me donnent le goût de le relire.
    Le même ami que ci-haut

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  3. Avez-vous une idée quand on pourra l'acheter?
    Pierre B.

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  4. Est-ce possible de réserver un exemplaire maintenant?
    Pierrette

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